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Nous sommes toujours l’adulte de quelqu’un ou quelqu’une

Par Anthony Lacroix le 2017/10
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Nous sommes toujours l’adulte de quelqu’un ou quelqu’une

Par Anthony Lacroix le 2017/10

J’ai adoré cette sélection de courts-métrages. Tout simplement. Je me laissais facilement emporter d’un univers à l’autre, d’une culture à l’autre, sans jamais que ce ne soit forcé.  

J’y ai vu des jeunes filles fortes et débrouillardes (surtout celle de The Minus One), qui n’ont besoin de personne pour faire ce qu’elles aiment le plus dans la vie ( The Catch, Het meisje van 672 k), que cette passion sorte de la norme ou soit un peu plus «conventionnelle». J’y ai aussi beaucoup appris, ce qu’il nous faut pour devenir adulte en Afrique du sud ( Initiation ), mais aussi à avoir peur des installations urbaines ( Tunnelen ). Vraiment, si j’avais un adolescent ou une adolescente dans mon entourage, je le lui conseillerais cette soirée, pour voir que les craintes sont un peu partout les mêmes, ou parfois vraiment différentes (Pria), mais surtout pour lui montrer que les adultes, à un certain moment  dans leur vie, seront dépassés et n’auront pas de réponses à lui offrir et qu’il devra donc aller les chercher lui-même, comme les personnages de The catch, Minus one, Het meisje van 672k, Pria et  Initiation.

La présentation se tiendra mardi 3 octobre 18h au Paradis

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