Actualité

Pour un meilleur accès aux sages-femmes dans l’Est

Par Marc Simard le 2014/07
Image
Actualité

Pour un meilleur accès aux sages-femmes dans l’Est

Par Marc Simard le 2014/07

Rimouski, le 11 juillet 2014- À l’occasion de la sortie de son numéro de juillet-août 2014, l’équipe du journal Le Mouton Noir et des sages-femmes de la Maison de naissance Colette-Julien de Mont-Joli vous invitent à une conférence de presse pour discuter de l’accès aux services de sages-femmes dans le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie.

L’événement se tiendra :

Le jeudi 17 juillet à 15h30
Au Bercail, coop de solidarité
166, av. de la Cathédrale, Rimouski

Alors que la pratique sage-femme est légalisée au Québec depuis 15 ans cette année, le journal propose un dossier complet sur les luttes qui ont parsemées la route vers cette reconnaissance et les défis que rencontrent encore aujourd’hui les sages-femmes d’ici et d’ailleurs.

Pour l’occasion, une sage-femme, Mélina Castonguay, sera présente pour parler des enjeux régionaux et de l’accès aux services.

« Le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS)  souhaite développer et rendre le service sage-femme accessible aux femmes qui en font la demande de toutes les régions du Québec. À l’est de la Capitale Nationale, la maison de naissance Colette-Julien, située à Mont-Joli, est la seule porte d’entrée aux services sage-femme. Les sages-femmes de cette équipe ainsi que leurs collaborateurs, le CSSS de la Mitis et l’Agence de santé se penche actuellement sur l’organisation du travail des sages-femmes en région à faible densité de population. Actuellement, cinq femmes dont l’ accouchement est prévu à l’automne n’ont pas eu accès au service de sages-femmes. Les solutions à cette problématique d’organisation du travail pourraient bénéficier aux autres régions tentant d’implanter des services de sages-femmes dans les régions de l’Est du Québec. »

Mélina Castonguay, sage-femme

Partager l'article

Image

Voir l'article précédent

Vivre de jazz et d’eau fraîche

Image

Voir l'article suivant

L’île Saint-Barnabé : de l’ermite aux archéologues